Cet ouvrage s’attache à montrer comment la mort, à diverses échelles (de l’Etat à l’individu en passant par la province, la cité et la cellule familiale) était gérée et encadrée.
Fanny Firon livre ici une thèse richement documentée dont la directrice de recherches, le Professeur Agnès Berenger - est professeur d'histoire romaine à l'Université Paul-Valéry Montpellier.
Ce livre a reçu le soutien du LabEx Archimede de l’Université de Montpellier et de la fondation Hierolexique.
Table des matières
Introduction
Chapitre I : L’Empire romain et la mort : un contrôle nécessaire de la part de l’État ?
I. Légiférer sur la mort
II. Arbitrer et gérer les conflits causés par la mort d’un individu
III. Orchestrer la mort : un moyen de garantir l’ordre ?
IV. Connaître les morts : un moyen de contrôle sur la population
Chapitre 2 : La mort dans la province romaine d’Égypte : le reflet d’interactions culturelles multiples ?
I. Un panthéon multiculturel
II. Les rites funéraires : survivance des traditions égyptiennes et capacité d’absorption par les Romains
III. Les conceptions de l’au-delà
IV. Les progrès de la romanisation
V. Une géographie différenciée des interactions culturelles dans la province romaine d’Égypte
Chapitre 3 : La cité face à la mort : assurer la reproduction sociale ?
I. La place des morts dans la cité : la crainte de la souillure
II. Un dialogue constant avec les morts
Chapitre 4 : L’individu, la famille et la mort : un reflet des liens sociaux.
I. Se préparer à mourir
II. Mourir
III. Les conséquences de la mort d’un proche
Conclusion
Abréviations
Annexes
Illustrations
Vocabulaire
Bibliographie
Sitographie
Index